CC – Cormorans et poisson chat par Stan Lupo via flickr
La pisciculture est de plus en plus victime des dégâts engendrés par les cormorans. Espèce protégée, les populations de cormorans ont connu un développement quasi endémique sur notre territoire alors qu’ils étaient pratiquement disparus de nos régions il y a quarante ans. Aujourd’hui on n’hésite plus à qualifier de fléau le développement anarchique des contingents de cormorans.
De fait les rivières, fleuves et lacs subissent les assauts répétés de cette espèce très vorace aussi qualifiée de « corbeau de mer ». Mais ce sont aussi les exploitations piscicoles qui ont le plus à souffrir de toutes les variétés de cette espèce qu’il s’agisse du grand cormoran, du cormoran pygmée ou huppée. Si les fleuves et lacs connaissent au coeur de l’hiver une accalmie lorsque les eaux sont en embâcle, les exploitations piscicoles et leurs richesses halieutiques sont particulièrement exposées quelque soit la saison.
Les pêcheurs essayent depuis longtemps de lutter contre ces prédateurs à l’appétit perpétuel, mais les prélèvements directs restent difficile à mettre en oeuvre (autorisation nécessaire même par les associations ou fédérations). Les prélèvements se heurtent également aux oppositions légitimes des écologistes qui dénoncent les prélèvement sur des espèces protégées.
La solution PROTECTOT® permet à la fois se débarrasser des cormorans de façon durable et dans le respect de la législation en cours sur les cormorans. On peut donc protéger son exploitation contre ces prédateurs, garantir la croissance de sa production sans conflits de voisinage avec les associations écologistes. Le meilleur des mondes en quelque sorte auquel la nouvelle version de PROTECTOT® contribue !
L’appétit insatiable des cormorans
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